Colette l’avait déjà compris : « Moi, c’est mon corps qui pense. Il est plus intelligent que mon cerveau. Il perçoit plus finement, plus complètement que mon cerveau… Toute ma peau a une âme. »
Colette l’avait déjà compris : « Moi, c’est mon corps qui pense. Il est plus intelligent que mon cerveau. Il perçoit plus finement, plus complètement que mon cerveau… Toute ma peau a une âme. »